Nino/Jaffar(j'l'adore)
Nino et Jaffar
Soutien C :
- Nino : Jaffar...
- Jaffar : ...
- Nino : Jaffar, puis-je vous demander quelque chose ?
- Jaffar : Quoi donc ?
- Nino : Eh bien, euh... Pourquoi aviez-vous rejoint Nergal ?
- Jaffar : ...
- Nino : La première fois que je vous ai rencontré, vous étiez aux
côtés de mèr... euh... je veux dire de Sonia et du Black Fang. J'ai
donc pensé que vous apparteniez au Black Fang. Mais mes frères m'ont
ensuite dit que vous étiez venu avec Negal. Je n'avais jamais vu
Nergal, mais... En tant que serviteurs de Nergal, Sonia et vous, vous
étiez amis, non ?
- Jaffar : Je n'étais encore qu'un enfant le jour où Nergal m'a
sélectionné... Il m'a élevé pour que je devienne son Ange de la Mort.
Je ne pensais pas. Je n'éprouvais rien. J'exécutais les ordres. C'est
tout.
- Nino : ...
- Jaffar : Je me suis affilié au Black Fang dans l'intention de les
espionner et de les manipuler. Les rumeurs disaient que Sonia et sa
fille étaient des leurs. Cette enfant élevée par Sonia... Je croyais
qu'elle était de la même espèce que moi. Mais quand je vous ai vue pour
la toute première fois, vous étiez avec les frères Reed, riant aux
éclats... Il faisait un soleil radieux, et sembliez vous sentir chez
vous...
- Nino : ...
- Jaffar : J'ai commencé à beaucoup m'intéresser à vous... J'ai reçu
l'ordre de vous exécuter. Mais je n'ai pas pu le faire parce que, pour
la première fois, je ressentais quelque chose.
- Nino : Jaffar...
Soutien B :
- Nino : Jaffar !
- Jaffar : Nino... Qu'y a-t-il ?
- Nino : Je veux que vous preniez ceci.
- Jaffar : Qu'est-ce que c'est ?
- Nino : Mon trésor le plus précieux ! C'est joli, n'est-ce pas ?
- Jaffar : Pourquoi voulez-vous vous en séparer ?
- Nino : Je veux qu'il soit à vous.
- Jaffar : Cette tâche sur le pendentif... Serait-ce du sang ?
- Nino : Euh... Oui. Elle se voit beaucoup ?
- Jaffar : Non. Apparemment, ce n'est pas votre sang...
- Nino : C'est celui de ma mère biologique. Cette tâche de sang s'est
déposée sur son collier le jour où Sonia et Nergal l'ont tuée.
- Jaffar : Ce bijou est donc un souvenir de votre mère. Vous devriez le garder...
- Nino : Je ne me rappelle même plus son visage, alors qu'elle m'a
protégée jusqu'au dernier souffle. Vous voyez, je ne mérite pas de
garder ce bijou.
- Jaffar : Vous étiez si jeune. Comment pourriez-vous vous souvenir d'elle ?
- Nino : Ce n'est pas une raison !
- Jaffar : Dans ce cas, je vais le garder. Je vous le rendrai lorsque
vous vous sentirez prête. Vous êtes ma... Vous êtes ma meilleure amie.
Je serai toujours là pour vous et je veillerai sur votre bijou...
- Nino : Votre meilleure amie ? C'est ce que je suis pour vous ? Jaffar ?
- Jaffar : Oui...
- Nino : Merci ! Merci, Jaffar ! Vous me comblez de bonheur !
Soutien A :
- Jaffar : Nino, à propos de tout à l'heure...
- Nino : Oui ?
- Jaffar : Je suis désolé, mais... Je ne vais pas être en mesure de tenir ma promesse.
- Nino : Mais... Que voulez-vous dire ?
- Jaffar : J'ai dit que je serais toujours votre ami et que je resterais à jamais auprès de vous. Mais quelque chose a changé.
- Nino (elle s'approche) : Non ! Comment pouvez-vous ? Vous m'aviez promis ! Vous aviez juré !
- Jaffar : Du calme.
- Nino : Quoi, ne suis-je qu'un fardeau pour vous ? Vous voulez vous
débarrasser de moi !? Dans ce cas, pourquoi m'avez-vous sauvée !?
Pourquoi avez-vous été si gentil avec moi !? Vous vous êtes démené pour
gagner ma confiance, et voilà que vous me trahissez !
- Jaffar (il s'approche) : Nino, écoutez ce que...
- Nino (elle recule) : Jaffar, je vous déteste ! Comment osez-vous ? (elle disparaît)
- Jaffar (il avance) : Nino ! Ne partez pas !
- Nino (elle apparaît) : Laissez-moi tranquille !!! Ne me touchez pas !!!
- Jaffar : Je vous aime...
- Nino : !!!
- Jaffar : Je... vous... aime...
- Nino : Jaffar...
- Jaffar : C'est pourquoi je ne peux plus être votre ami. Voilà ce que je voulais vous dire...
- Nino : ... Vraiment ?
- Jaffar : Je n'ai pas l'habitude de plaisanter.
- Nino : En effet. Mais... C'est juste si difficile de...
- Jaffar : de m'aimer ?
- Nino : Non ! Ce n'est pas ce que je voulais dire ! Je, euh... Jaffar, je... Je vous aime moi aussi.
- Jaffar : Nino... A la fin de ce combat, nous resterons ensemble. Je jure de vous protéger jusqu'à la mort.
- Nino : Oui... Restons ensemble à jamais. (elle ferme les yeux) Jaffar... Ne me quittez jamais ! Jamais... Promettez-le moi.
- Jaffar (il ferme les yeux) : Sur mon honneur... Sur mon coeur... Je vous le promets...
Serra/Sain(^^)
Serra et Sain
Soutien C :
(Musique de Serra)
- Sain : Ah... O gracieuse Serra ! Aussi fréquentes que soient nos
rencontres, je vous trouve toujours débordante de fraîcheur et de
beauté !
- Serra : Oh, Sain... J'ai toujours su que vous étiez connaisseur.
- Sain : C'est ce qui distingue une bonne maison. Et c'est pour cela
que nous sommes réunis aujourd'hui ! Ah, Serra, nous formerions un si
joli couple !
- Serra : Eh bien, pour le moment, je n'en suis pas si sûre, mais...
- Sain : Ah, comme nous pouvons être inhibés ! Ou vous cherchez peut-être à faire durer le plaisir ?
- Serra : En fait, je... Attendez, vous essayez de me convaincre de céder, non ?
- Sain : Pour cela, je suis prêt à tout, très chère !
- Serra : Soit. Nous verrons...
Soutien B :
(Musique de Serra)
- Serra : Hé, Sain, regardez ! Comment vous le trouvez ? N'est-il pas adorable ?
- Sain : Tout à fait. C'est un joli poupon !
- Serra : Idiot ! Ce n'est pas un poupon ! Il s'agit d'un collier très spécial, que l'on trouve seulement à Etruria.
- Sain : C'est un collier ? Eh bien, il est... assez... particulier.
- Serra : Oui, ils ne sont pas encore à la mode ici. Mais ils sont très prisée dans la haute société.
- Sain : Vraiment ? Serra, j'imagine que vous êtes une experte en la matière. Moi, la mode, je n'y entends goutte.
- Serra : C'est normal ! Caelin est complètement isolé du reste du
monde ! Regardez Lyn ! Elle est superbe, mais elle n'a pas du tout le
sens de l'esthétisme.
- Sain : Ah... Comment pouvez-vous dire ça ?
- Serra : Vous savez, Ositia est la capitale de la mode, voilà pourquoi
mon style paraît aussi excentrique. Je suis trop en avance sur le reste
du monde de la mode.
Soutien A :
(Musique de Serra)
- Serra : Ohé, Sain ! A votre avis, qui deviendra l'amant de Lyn ? Lord Eliwood ? Ou Lord Hector ?
- Sain : L'amant de Lady Lyndis ? Mmm... Pourquoi cette question ?
-
Serra : Parce que j'aime bien jouer aux devinettes ! Peu importe sur
qui elle jettera son dévolu, la nouvelle fera du raffut à Lycia,
n'est-ce pas ? Mais qui sera l'heureux élu ? A votre avis ?
- Sain : A mon avis, il y a plus de deux hommes dans la compétition. Même un honnête cavalier conviendrait comme soupirant.
- Serra : Non, pas vous, Sain. Vous n'êtes même pas en compétition...
- Sain : Comment !? Mais je l'ignorais ! Cette étincelle dans ses yeux n'était-elle que le reflet de mon propre amour ?
- Serra : Oui. J'ai mené mon enquête, vous savez. Et d'après mes sources, celui qui a volé le coeur de Lyn est...
- Sain : Je vous écoute...
- Serra : Je dirais que c'est Hector. Ils se disputent souvent, c'est
un signe de passion ! Mon intuition ne me trahit jamais. C'est Lord
Hector, j'en mettrais ma main à couper ! Il fait tout de même partie de
la famille royale ! Et il va de surcroît hériter du titre de marquis !
- Sain : Serra... Pourriez-vous me dire à qui je plais ?
- Serra : Il n'en est pas question. Je le sais, mais je ne dirai rien.
- Sain : Mais... pourquoi ?
- Serra : Parce que... vous cherchez à séduire toutes les filles... Et
je trouve que ça fait de vous un homme grossier. Je ne vous dirai donc
rien ! (elle disparaît)
- Sain : Ah ! Attendez ! Serra !
Lucius/Pricilla
Lucius et Priscilla
Soutien C :
- Lucius : Vous, vous êtes une alliée, n'est-ce pas ? Je m'appelle Lucius. Je suis enchanté de faire votre connaissance.
- Priscilla : Je m'appelle Priscilla. C'est un honneur, monsieur.
- Lucius : Lady... Priscilla ? Etes-vous... Appartenez-vous... à la maison de Cornwell ?
- Priscilla : Comment le savez-vous ? Nous sommes-nous déjà rencontrés ?
- Lucius : Non, j'ai juste entendu parler de vous. Lord Raven a... Pardonnez-moi. Je crois que vous l'appelez Raymond, non ?
- Priscilla : Seriez-vous l'ami de mon frère, Raymond ?
- Lucius : Oui, Naguère, je servais la maison de Cornwell. Raymond m'a
souvent parlé de vous. Il m'a dit qu'il avait jadis une soeur et
qu'elle vivait à présent avec le comte de Caerleon.
- Priscilla : Donc... mon frère parle de moi ?
- Lucius : Avez-vous vu Raymond récemment ?
- Priscilla : Oui... Il n'a pas beaucoup changé. C'est un homme formidable.
Soutien B :
- Priscilla : Lucius !
- Lucius : Ah, Priscilla...
- Priscilla : Au sujet de ce que je vous ai demandé tout à l'heure... Vous dites que mon frère vous a parlé de moi ?
- Lucius : Oui.
- Priscilla : Que vous a-t-il dit exactement ?
- Lucius : Eh bien, euh... Il m'a dit que sa petite soeur, Priscilla, a dû quitter Cornwell alors qu'elle était très jeune.
- Priscilla : Que vous a-t-il dit d'autre ?
- Lucius : Quoi d'autre ? Qu'enfants, vous étiez inséparables. Que vous étiez souvent malade et que vous étiez très timide.
- Priscilla : C'est tout ? Vous ne vous souvenez pas qu'il vous ait
dit... que j'étais mignonne quand j'étais petite... qu'il m'a autrefois
fait une promesse... qu'il n'a pas cessé de penser à moi depuis mon
départ ?
- Lucius : Lady Priscilla ? Vous allez bien ?
- Priscilla : Oui... Excusez-moi. Oubliez ce que je viens de dire. Lucius ?
- Lucius : Oui ?
- Priscilla : Je vous trouve très beau. Vous avez les traits aussi fins
que ceux d'une femme. A dire vrai, vous êtes bien plus beau qu'une
femme. Je suis sûre que bien des seigneurs ont succombé à vos charmes...
- Lucius : S'il vous plaît, milady ! Je suis... un homme. Quand j'était
petit, on se moquait souvent de moi à cause de mon physique. Mon
apparence était un fardeau qu'il m'était très pénible de porter.
J'imagine que vous n'avez pas fait cette remarque pour vous railler de
moi, n'est-ce pas ?
- Priscilla : ... Je ne voulais rien dire de mal. Excusez-moi... (elle disparaît)
- Lucius : Lady Priscilla...
Soutien A :
- Lucius : Lady Priscilla...
- Priscilla : Lucius... Quelque chose ne va pas ? Vous avez l'air si sérieux.
- Lucius : Pardonnez-moi, Lady Priscilla. Vous êtes une noble de la
maison de Cornwell. Je vous ai manqué de respect. Vous m'en voyez très
désolé.
- Priscilla : Pourquoi me présentez-vous des excuses ?
- Lucius : Lors de notre dernière conversation, je vous ai dit des choses offensantes.
- Priscilla : Vous faites une montagne de pas grand-chose. Avez-vous fait tout ce chemin juste pour vous excuser ?
- Lucius : Je sers la maison de Cornwell. Vous êtes donc mon maître.
- Priscilla : Mais j'appartiens à présent à la maison de Caerleon. La maison de Cornwell, hélas, n'existe plus.
- Lucius : ... Oui... Donc, vous savez.
- Priscilla : Vous connaissiez les faits et vous me les avez cachés ?
Et, bien que la maison de Cornwell soit tombée dans le déshonneur, vous
persistez à rester auprès de mon frère ?
- Lucius : Oui...
- Priscilla : Je comprends pourquoi vous étiez le favori de la maison
de Cornwell. J'en conclus que vous n'êtes pas un serviteur comme les
autres et que vous n'avez pas à vous excuser...
- Lucius : Lady Priscilla... Puis-je vous demander quelque chose ? Lors de notre dernière rencontre, vous...
- Priscilla : Oui, euh... Cessez de vous tourmenter. Je me suis laissée troubler par une affaire triviale. C'est juste que...
- Lucius : Oui ?
- Priscilla : Lorsque j'ai quitté les miens, j'avais à peine six ans.
Depuis combien de temps servez-vous la maison de Cornwell ?
- Lucius : Je la sers depuis une dizaine d'années. Après la chute de
Cornwell, voilà deux ans maintenant, Lord Raymond et moi, nous avons
rejoint l'armée de Caelin.
- Priscilla : Vous comprenez ? Vous êtes allé à Cornwell juste après
mon départ. Et vous n'avez pas quitté mon frère depuis cette date. Je
n'ai passé que six années de ma vie avec lui, c'est-à-dire quatre ans
de moins que vous. Je vous avoue que je suis un peu... jalouse.
- Lucius : Lady Priscilla ?
- Priscilla : Faites comme si je n'avais rien dit !
Lucius/Serra(cro bien ^^)
Lucius et Serra
Soutien C :
(Musique de Serra)
- Serra : Donc, vous êtes Lucius, c'est exact ?
- Lucius : Oui, soeur Serra.
- Serra : Mm... C'est la première fois que je vous adresse la parole. Vous savez pourquoi ?
- Lucius : Pourquoi ? Je l'ignore.
- Serra : Par principe, je ne me lie jamais d'amitié avec des filles
aussi adorables que moi. Je ne supporte pas la concurrence ! Alors, je
vous prierais de garder vos distance ! Avez-vous bien compris le
message ?
- Lucius : Oui...
- Serra : Oh, j'allais oublier ! Tout en gardant vos distances, moi,
votre supérieur, j'exige que vous me protégiez sur le champ de
bataille, compris ? Nous servons Sainte Elimine. Notre but est donc le
même ! Certes, vous êtes plus agée, mais notre code de conduite est
intangible !
- Lucius : Euh, oui. Bien entendu. Mais...
- Serra : Qu'y a-t-il ? Vous désirez protester ?
- Lucius : Non, pas du tout ! C'est juste que...
- Serra : Si vous saviez comme vous êtes agaçante ! Si vous avez quelque chose à me dire, eh bien, parlez !
- Lucius : En fait, je ne suis pas une prêtresse, mais un moine. Donc...
- Serra : Un moine !?
- Lucius : Oui...
- Serra : Mais... pour devenir moine, il faut être... euh... un homme, non ?
- Lucius : Oui, en effet.
Soutien B :
(Musique de Serra)
- Serra (seule) : Aaaah... Etait-ce un rêve ? Je ne peux pas croire
qu'un aussi bel homme puisse être réel... Quelle chance j'ai eu de le
rencontrer ! Je crois que je vais faire un malaise !
- Lucius (il apparaît) : Je vous demande pardon. Est-ce que je vous dérange ?
- Serra : Oh !
- Lucius : Vous aurais-je incommodée ?
- Serra : Non ! Pas du tout...
- Lucius : Vraiment ? Tant mieux. Comme vous ne disiez plus rien, j'étais inquiet.
- Serra : ... Quels charmes envoûtants ! Et ses yeux, comme ils sont beaux !
- Lucius : Soeur Serra ?
- Serra : Serra... Serra... Il a dit mon nom ! Elimine, aidez-moi ! Même le son de sa voix... m'hypnotise !
- Lucius : Mm...
- Serra : Que dois-je faire ? Oh ! Je sais ! Je vais prier ! Sainte Elimine, louées soient vos grâces... (elle disparaît)
- Lucius : Mmm...
Soutien A :
- Serra : Lucius ?
- Lucius : Oui, qu'y a-t-il, mon enfant ?
- Serra : De quelle contrée êtes-vous ?
- Lucius : Je suis né à Etruria.
- Serra : Je le savais ! Cette belle chevelure blonde ! De quelle autre région auriez-vous pu venir ?
- Lucius : Les Etrurians n'ont pas forcément les cheveux blonds, vous savez...
- Serra : Ce n'était qu'une supposition. Elle n'était pas sérieuse. Et
quel est le rang social de votre famille à la cour ? Barons ? Vicomtes
? Ou comtes, peut-être ? Oh, s'ils étaient ducs, j'en mourrais !
- Lucius : Serra... Je ne suis qu'un simple étudiant.
- Serra : Comment ? Je ne vous crois pas !
- Lucius : Mon père était soldat. Il est mort quand j'avais trois ans.
- Serra : Oh... mais... qui vous a élevé ?
- Lucius : Peu de temps après, la maladie emporta maman. On m'a donc placé dans un orphelinat, où j'ai vécu plusieurs années.
- Serra : Vous avez grandi dans un orphelinat ?
- Lucius : Je suis désolé. Je ne suis pas celui que vous croyiez...
- Serra : ... ... ... Sniff...
- Lucius : Soeur Serra ? Vous pleurez ?
- Serra : Vous ne comprenez pas... Je... Je... j'ai grandi dans un couvent.
- Lucius : Oh...
- Serra : Comme vous, j'ai grandi dans un triste endroit. J'ai enduré les mêmes épreuves que vous.
- Lucius : Vous êtes si sensible.
- Serra : ... ... ...
- Lucius : Serra ? Je suis convaincu que notre rencontre n'était pas
fortuite. C'est Saint Elimine qui l'a voulue. Je lui sais gré de vous
avoir emmenée jusqu'à moi.
- Serra : Oh, Lucius, Moi aussi, je lui sais gré.
Louise/Heath
Louise et Heath
Soutien C :
- Louise : Ah !
- Heath : Oh ! Excusez-moi ! Vous allez bien ?
- Louise : Oui, ça va... J'ai juste été décontenancée par le vent. Ne vous en faites pas !
- Heath : ...
- Louise : Et vous, ça va ?
- Heath : Moi ? Euh, oui ! Dites-moi... Que fait une jeune fille comme vous sur un champ de bataille ? Cela m'interpelle...
- Louise : Hi hi hi. Je ne suis pas si jeune que ça. Je suis l'épouse d'un Lord.
- Heath : Un... Lord ? Pardonnez-moi. Je ne savais pas.
- Louise : Oh, ce n'est rien ! Je suis la comtesse de Reglay. Lady
Louise, si vous préférez. Mais je vous en prie, je ne veux pas de
traitement spécial.
- Heath : Comme vous voudrez ! Je m'appelle Heath ! J'ai quitté l'armée de Biran mais j'ai confiance en mes aptitudes.
- Louise : Heath, j'espère avoir un jour la chance de combattre à vos
côtés ! A présent, je dois prendre congé... (elle disparaît)
- Heath : ... ... ... C'était vraiment la marquise de Reglay ?
Soutien B :
- Heath : Lady Louise !
- Louise : Ah, Heath ! Comment allez-vous ?
- Heath : Très bien, milady. Puis-je vous être d'une quelconque
assistance ? Si je puis me permettre, je voudrais vous offrir mes
services.
- Louise : Je crains que vous ne puissiez vous le permettre, monsieur.
- Heath : Pardon ?
- Louise : Votre générosité est louable, monsieur, mais..., n'avez-vous pas déjà juré de servir un autre ?
- Heath : En effet. Mais...
- Louise : Mais ? Je suis une aristocrate dont il faut garder le patrimoine, c'est ce que vous pensez ?
- Heath : Oui...
- Louise : Eh bien, monsieur, si vous souhaitez rester dans mes grâces, je vous prie de cesser ces raisonnements absurdes !
- Heath : Mais, pourquoi ? Je suis un cavalier ! Il est de mon devoir
de veiller sur les femmes et les nobles, même s'ils ne sont pas mes
maîtres ! Accomplir ce devoir est donc disgracieux à vos yeux ? Est-ce
pour vous une offense !?
- Louise : Vous devez me pardonner. Cependant... Comme vous, je suis un
membre à part entière de cette armée. En d'autres termes, nous sommes
partenaires... Mais si vous insistez pour me réserver un traitement de
faveur... j'en concluerai alors que vous ne me faites pas confiance.
- Heath : Lady Louise ! Jamais je ne vous manquerai de respect en
doutant de vos aptitudes ! Vous maniez l'arc comme personne ! La simple
pensée que je puisse vous offenser malgré moi me trouble au plus haut
point ! Veuillez excuser mon arrogance !
- Louise : Heath... C'est moi qui vous ai offensé. Je suis si égoïste, parfois. Je m'en excuse. Me pardonnerez-vous ?
- Heath : Vous pardonnez ? Mais je ne vous en veux même pas ! Jamais je tacherai mon honneur par tant d'incivilité !
- Louise : Je vois... Mon Lord m'appelle. Je dois aller le rejoindre.
Mais, Heath, nous continuerons cette conversation plus tard.
- Heath : Ne vous inquiétez pas pour moi. Retournez auprès de votre Lord, Lady Louise.
- Louise : Ces formalités ne sont pas nécessaires entre amis. Je vous en prie, appelez-moi Louise ! Tout simplement.
- Heath : Mais...
- Louise : Je vous en prie... (elle disparaît)
- Heath : Oui... Lad... Louise.
Louise/Hawkeye
Louise et Hawkeye
Soutien C :
- Louise : Hawkeye ! Attendez-moi !
- Hawkeye : Louise... Vous êtes essouflée ! Qu'y a-t-il ?
- Louise : Eh bien... Je vous ai aperçu au loin... et...
- Hawkeye : Et ? Quoi ?
- Louise : Je pensais que vous pourriez donner ceci à Igrene...
- Hawkeye : Mais c'est... un arc.
- Louise : Tout à fait. Cette arme m'apporte une grande satisfaction.
J'en ai donc acheté une pour moi et une pour Igrene. Regardez comme
elles s'accordent et se complètent !
- Hawkeye : Je vous remercie... Ma fille va être ravie.
- Louise : Elle doit s'ennuyer à la maison. Elle mérite un beau cadeau.
Elle est toute seule, sans son père... Ca ne doit pas être drôle pour
elle. Allez vite la retrouver. Ce n'est qu'une enfant.
- Hawkeye : Elle a plein d'amis au village. Elle n'est pas toute seule.
- Louise : Oui, mais elle n'a qu'un seul père. Ne l'oubliez pas !
- Hawkeye : Ca ne risque pas.
Soutien B :
- Hawkeye : Louise, prenez ceci. Je vous le confis.
- Louise : Oh, quel beau collier ! Je ne vous ai jamais vu porter ce bijou.
- Hawkeye : Il appartenait... à ma femme.
- Louise : Pour quelle raison me le donnez-vous ?
- Hawkeye : Si je ne revenais pas vivant, donnez-le à ma fille. Si elle
le voit, elle comprendra ce qui m'est arrivé, et vous n'aurez pas
besoin de recourir aux mots.
- Louise : C'est une promesse plutôt macabre que vous me demandez de vous faire.
- Hawkeye : S'il m'arrive quelque chose, c'est elle qui devra reprendre
mes fonctions. Le gardien du désert ne doit pas craindre la solitude.
C'est dans la solitude qu'il doit trouver la quiétude. Je sens que mon
heure approche.
- Louise : Hawkeye...
- Hawkeye : Mais je n'ai aucun regret. J'ai servi mon maître, je me
suis marié et j'ai eu un enfant. J'ai également eu la chance d'avoir
pour amis des gens aussi exceptionnels que vous et Lord Pent. Il ne me
reste plus qu'à accomplir mon destin.
- Louise : Mais avant... vous devez retourner dans le désert. Votre
destin peut attendre. Je vous en supplie, allez voir Igrene. Elle a
besoin de vous.
Louise/Pent
Louise et Pent
Soutien C :
- Pent : Louise, ça va ?
- Louise : Oui, Lord Pent. Il s'agit du Temple des Sceaux, n'est-ce pas ?
- Pent : Oui, je crois. Seuls quelques élus savent où il se trouve. Le
palais d'Etruria va être comblé de joie. J'imagine que nous devons
retourner à Etruria pour leur transmettre un rapport complet...
- Louise : Qu'allez-vous faire ?
- Pent : Louise, que voulez-vous faire ?
- Louise : Je veux vous suivre.
- Pent : Je vois... Dans ce cas, nous devons voyager avec eux, pour
quelque temps seulement. Je vous mets dans une situation embarrassante,
n'est-ce pas ?
- Louise : Absolument pas. Je suis heureuse de continuer ce voyage avec
vous. L'important, c'est que vous soyons ensemble, n'est-ce pas, Lord
Pent ?
- Pent : Louise...
- Louise : Lord Pent...
Soutien B :
- Louise : Lord Pent, où est l'Archimage ?
- Pent : Il dirige une cérémonie à Arcadia. Il a dit qu'il regagnerait la Porte du Dragon à temps.
- Louise : Ah... Je suis inquiète.
- Pent : Au sujet de Lord Athos ?
- Louise : Oui. Quand je séjournais dans le désert de Nabata,
l'Archimage... Il ne se nourrissait pas, si je ne l'encourageais pas à
le faire. Il doit mourir de faim...
- Pent : Soyez rassurée. Lord Athos s'est depuis longtemps élevé
au-delà des besoins des mortels. Pour lui, manger et dormir ne sont pas
des besoins vitaux.
- Louise : Ah bon ? Vraiment ? Ceci étant dit, un repas opulent contribuerait à le rendre plus vigoureux, non ?
- Pent : En effet. Après tout, un bon repas n'a pas pour seul but de satisfaire nos besoins naturels !
- Louise : Vous êtes très mal placé pour faire ce genre de remarque,
Lord Pent. Quand vous êtes plongé dans vos recherches, vous êtes comme
coupé du monde. Tous les jours, je vous attends pour dîner, mais il est
très rare que vous veniez vous attabler.
- Pent : Je vous ai laissée totue seule. Je suis sincèrement désolé. Après ce combat, je corrigerai ces mauvaises habitudes.
- Louise : Vraiment ?
- Pent : Oui, vraiment !
- Louise : Dans ce cas, faites-moi une faveur. Après ce voyage, je veux
que nous restions à la maison. Nous irons boire le thé au salon et nous
passerons nos journées rien que tous les deux.
- Pent : Tout ce que vous voudrez !
- Louise : Vous faites mon bonheur, Lord Pent !
Soutien A :
- Pent : Restez près de moi, Louise. Nous devons rester ensemble.
- Louise : Oui, Lord Pent... C'est un dragon ?
- Pent : Oui. Jadis, Lord Athos et d'autres légendes les ont combattus.
- Louise : Lord Pent...
- Pent : Je comprends pourquoi vous tremblez. Cela c'est produit il y a
mille ans, mais je peux comprendre pourquoi les hommes et les dragons
se sont entretués. Comparés aux hommes, les dragons sont très
puissants. Leur existence était perçue comme une menace... Une menace
insupportable aux yeux des hommes !
- Louise : ...
- Pent : Voilà un millénaire. Hormis Lord Athos, aucun d'entre nous n'a
jamais été confronté à ce genre d'adversaire. Nous ignorons ce
qu'implique un tel combat.
- Louise : Vous avez raison.
- Pent : Mais une chose est sûre. Louise, je vous protégerai.
- Louise : Lord Pent, je... Moi aussi, je vous protégerai. Vous et l'enfant que je porte. Notre enfant...
- Pent : Oh, Louise...
Rebecca/Lowen
Rebecca et Lowen
Soutien C :
- Lowen : Rebecca !
- Rebecca : Ah... Bonjour, milord. Comment allez-vous ?
- Lowen : Non, Rebecca, je ne suis pas un Lord. Je ne suis qu'un simple
soldat, qui n'a jamais reçu les honneurs. A dire vrai, je ne suis qu'un
cavalier au service d'un seigneur.
- Rebecca : Vous vous rabaissez, ce n'est pas bien. Monsieur Lowen,
vous êtes un formidable cavalier ! Je m'en souviens très bien... Des
centaines de bantdits attaquaient notre village...
- Lowen : N'exagérons rien. Ils n'étaient qu'une dizaine.
- Rebecca : Dans l'agitation du moment, je croyais qu'ils étaient plus !
- Lowen : Mm...
- Rebecca : Tandis que leurs mains perfides avaient presque dépouillé
notre village, vous êtes aparu, Lowen, sur votre grand et beau cheval
blanc.
- Lowen : Mais... mon cheval est de couleur alezan.
- Rebecca : C'est ainsi que j'aime m'en souvenir, milord. S'il vous
plaît, ne ruinez pas mes rêves en essayant de les rendre conformes à la
réalité !
- Lowen : Mm...
- Rebecca : Vous avez surgi sur votre destrier pour nous sauver des bandits, et je vous ai trouvé grandiose...
Soutien B :
- Rebecca : Monsieur Lowen !
- Lowen : Rebecca ? Comment avez-vous fait pour me retrouver ?
- Rebecca : Oh, un jeu d'enfant ! J'ai demandé à Marcus, et il me l'a
dit tout de suite ! Comment vous sentez-vous aujourd'hui, monsieur
Lowen ?
- Lowen : Je déborde d'énergie ! Ah, si seulement mes aptitudes
pouvaient être à la hauteur de mon enthousiasme ! Marcus m'a réprimandé
à maintes reprises pendant notre marche.
- Rebecca : Oui, j'ai vu. Lord Marcus est trop sévère, non ?
- Lowen : Non, pas du tout ! C'est le traitement qui est réservé aux
incomptétents ! Mes attaques manquent de précision, ce qui remet en
question ma place au sein de ce groupe.
- Rebecca : Comment pouvez-vous dire une chose pareille ? Lowen, vous êtes si imposant si majestueux sur votre cheval !
- Lowen : En ce moment, je ne suis qu'une nuisance pour Eliwood ! Il me
faut devenir plus fort ! Dorénavant, je vais tripler la durée de mon
entraînement !
- Rebecca : Vous allez me rendre sourde à crier comme ça ! Je pense que
vos efforts sont déjà amplement suffisants. Prenez ceci. C'est pour
vous remercier d'avoir sauvé mon village.
- Lowen : Qu'est-ce que c'est ?
- Rebecca : Ce sont des converses de viandes que j'ai préparées
moi-même et que vous pourrez déguster au cours de votre quête. Elle
viendront compléter vos rations d'urgence, monsieur Lowen.
- Lowen : Qui vous a parlé de ces rations d'urgence ? Auriez-vous eu recours aux services d'un diseur de bonne aventure ?
- Rebecca : Non, c'est Lord Marcus qui me l'a dit.
- Lowen : Ah, oui ! Bien sûr ! Lord Marcus !!! Comment fait-il pour
toujours tout savoir !? Quoiqu'il en soit, je vous remercie, Rebecca.
- Rebecca : Il n'y a pas de quoi ! J'en ai encore plein en réserve, rien que pour vous !
Soutien A :
- Lowen : Rebecca !
- Rebecca : Monsieur Lowen ?
- Lowen : Vous allez bien ?
- Rebecca : Ma foi, oui... Qu'y a-t-il, Lowen ?
- Lowen : Vous semblez... indemne. Je remercie le ciel que vous soyez saine et sauve.
- Rebecca : Oui, je vais bien. Pourquoi pensiez-vous que...
- Lowen : Une stupide prémonition. J'ai comme un sixième sens. Et, qui plus est, je me soucie de votre bien-être...
- Rebecca : Ah...
- Lowen : Rebecca, j'ai perdu grand-père il y a trois ans. Puis mon
père il y a six mois. Je vous en prie, Rebecca, soyez extrêmement
prudente !
- Rebecca : Oui, bien sûr... C'est juste que je l'ignorais... Lowen... je ne savais pas que vous vous inquiétiez pour moi.
- Lowen : Oh !
- Rebecca : Eh bien, c'est embarrassant. Mais... ça me fait très plaisir.
- Lowen : Oui, euh... Eh bien... je...
- Rebecca : ...
- Lowen : ...
- Rebecca : Donc, hem...
- Lowen : Oui ?
- Rebecca : Pourriez-vous m'en dire plus sur votre prémonition ? On
dirait qu'elle vous a fait très peur. Vous tremblez encore...
- Lowen : Euh... En fait, c'est... C'est mon estomac qui gargouille...
- Rebecca : Pardon ?
Rebecca/Sain(^^)
Rebecca et Sain
Soutien C :
- Sain : Ah !
- Rebecca : Qu'y a-t-il ?
- Sain : O délicieuse vision, dites-moi vite votre nom !
- Rebecca : Je m'appelle Rebecca.
- Sain : Rebecca. Comme c'est poétique ! Ce nom pourtant ordinaire a
une consonance si parfaite. Il sied à merveille à une personne aussi
gracieuse que vous...
- Rebecca : Je vous en prie, arrêtez. Vous m'embarrassez. Ce n'est qu'un prénom.
- Sain : Ma chère Rebecca ! Cet endroit n'est pas sûr. Restez près de
moi ! Je suis cavalier. J'ai juré sur l'honneur de protéger les jeunes
filles sans défense...
- Rebecca : Ecoutez, je ne vous ai rien demandé, d'accord ? Je viens d'un tout petit village, vous comprenez ?
- Sain : Qui se souvie des origines modestes d'une jeune fille aussi belle que vous ? Ma chère Rebecca, donnez-moi la main !
- Rebecca : Euh, non merci. Je préfère marcher.
Soutien B :
- Sain : Ah, Rebecca !
- Rebecca : ...
- Sain : Quel temps magnifique ! Comme si le ciel souhaitait bénir notre rencontre !
- Rebecca : ...
- Sain : Comment ? Je me trompe ou votre regard est très froid ce matin ?
- Rebecca : Sain...
- Sain : Oui ?
- Rebecca : Lyndis m'a mise en garde contre vous. Elle m'a dit que vous
avez courtisé toutes les femmes que vous avez pu croiser à Caelin.
- Sain : Touché...
- Rebecca : J'ai été trop bête de croire que vous étiez sincère.
- Sain : Ah, ne me jugez pas trop vite ! C'est le destin, ou plutôt la malédiction qui pèse sur moi.
- Rebecca : Vous êtes un coureur de jupons, n'est-ce pas ? Avouez !
- Sain : Je... euh... oui.
- Rebecca : Combien de femmes ?
- Sain : Euh... toutes. Toutes les femmes que j'ai croisées... Je ne pouvais pas résister ! Elles étaient top belles !
- Rebecca : Je vois. Jamais je ne pourrais aimer un homme comme vous. Adieu. (elle disparaît)
- Sain : Ah !!! Rebecca ! J'aurais dû lui mentir !
Soutien A :
- Rebecca : ...
- Sain : Rebecca ! Que faites-vous ici ? Ah, vous êtes venue pour me voir !
- Rebecca : Je voulais juste... vous rendre ceci.
- Sain : Mais... cette lettre vient de moi...
- Rebecca : Eh bien, je trouve votre style banale et soporifique. Tout
le monde sait écrire des "Je vous aime" et "Vous êtes la plus belle".
- Sain : Si vous me la rendez, cela signifie que...
- Rebecca : ...
- Sain : Vous êtes donc indifférente à mes sentiments !?
- Rebecca : Non, ce n'est pas pour ça. Je vous la rends simplement parce que je la trouve trop... superficielle.
- Sain : Superficielle ? Que dites-vous ?
- Rebecca : Ecoutez, Sain... Vous racontez ces choses à toutes les
femmes que vous rencontrez. C'est pourquoi aucune de ces femmes ne se
sent spéciale !
- Sain : C'est l'image que vous avez de moi ?
- Rebecca : Oui...
- Sain : Mais j'ai sûrement des qualités ! En outre, ce que je ressens pour vous est vrai !
- Rebecca : Sain... Etes-vous vraiment sincère avec moi ?
- Sain : Oui.
- Rebecca : Puis-je vraiment vous faire confiance ?
- Sain : Mais bien entendu !
- Rebecca : Alors, Sain... Vous n'avez rien contre si je cours le dire à Lyndis ?
- Sain : ...
- Rebecca : Sain ?
- Sain : Ah, bien sûr, faites. Si vous le devez.
- Rebecca : Je le savais ! Sain, vous n'êtes qu'un goujat ! (elle disparaît)
- Sain : Non ! Attendez ! Rebecca, mon amour !